LE TÉMOIGNAGE DE JUNE CRAIN

 

1ère partie

 

June Crain travailla dans les années 40 et 50 à la Base Aérienne de Wright Patterson, bien connue pour avoir abritée entre autre  le fameux "Air Materiel Command" commandé par le Général Twining. Vers la fin de sa vie June Crain raconta son histoire à James E. Clarkson, ancien officier de police qui l'enregistra puis la retranscrit dans un document de 64 pages.

Ce document prouverait que plusieurs crashes d'OVNIs se sont réellement produits, que des Entités ont été récupérées, et qu'en fin de compte, certains membres des Forces Militaires US pas forcément hauts placés étaient manifestement au courant du "Secret".

La place nous étant comptée, nous avons traduit  les passages les plus significatifs.

Parmi les documents joints, vous trouverez l'acte de transfert de droits, signé par June Crain ex Kaba, en faveur de James E. Clarkson, ainsi que l'affidavit (déclaration sous serment faite devant notaire) signé par ce dernier.

Les autres documents, provenant des Archives Nationales Américaines, et dûment authentifiés prouvent que June Crain a bien travaillé pour le Gouvernement US aux dates et époques citées.

 

 

Avec l'aimable autorisation de  James E. Clarkson

TRADUCTION

CESSION DES DROITS POUR UNE BIBLIOGRAPHIE

Moi, JUNE M. KABA, étant saine d'esprit donne; cède et transfère à JAMES EMERY CLARKSON tous les droits, titres et intérêts que je peux avoir dans les articles, publications, documents, et/ou livres concernant l'histoire de ma vie.

Je fais ce transfère sans attendre une quelconque rémunération pour moi-même ou pour ma succession. Ce transfert est motivé par ma reconnaissance dans l'amitié, et dans la compréhension que j'ai reçue de JAMES EMERY CLARKSON quand j'ai eu besoin de lui

EXÉCUTÉ ce 24ème jour de juillet 1997. 

Signé : JUNEZ.M KABA

ÉTAT De WASHINGTON

COMTÉ DE GRAYS HARBOR 

Ce 24ème jour de juillet 1997, devant moi, le sous-signé, Notaire public dans et pour l'état de Washington, dûment commissionné et assermenté, a personnellement comparu JUNE M. KABA, de moi connu pour être la personne au nom ci-dessus, qui exécuta le susdit acte volontairement, pour les usages et les buts ci-mentionnés.

TÉMOIN, ma signature et le sceau officiel apposés le 24ème jour de juillet 1997. 

Signé JENNI ODEEN

Notaire public

 

AFFIDAVIT (Déclaration sous serment)

TRADUCTION

Déclaration faite sous serment certifiée et authentifiée devant Notaire

Moi, Jones E Clarkson par la présente jure sous peine de parjure et devant Dieu que l'information suivante est vraie : 

1. Je suis citoyen des Etats-Unis et réside à Aberdeen dans le comté de Grays Harbor dans l'état de Washington. Je suis âgé de 47 ans, marié avec trois enfants. Je suis diplômé depuis 1969 d'une école préparatoire à l'Université de San Francisco, Californie. J'ai fait également trois ans de classes terminales pour compléter l'université à l'université de Californie et au Collège St Martin à Lacey, Washington et j'ai un diplôme de Culture Générale du Collège de Grays Harbor. J'ai également accompli une formation professionnelle étendue comme décrit ci-dessous.

2 J'ai servi pendant plus de 3 années à Fort Lewis, WA en tant qu'enquêteur dans la police militaire. En 1977 j'ai été démobilisé et j'ai reçu la médaille de recommandation de l'Armée pour service rendu.

3. En comptant mon service militaire, j'ai travaillé sans interruption sur le terrain afin de faire appliquer la loi pendant 24 années. Après ma démobilisation, j'ai été shérif adjoint, officier correctionnel du comté, et depuis 1979 j'ai été employé sans interruption en tant qu'officier de police à Aberdeen.

4 Ni le département de la police d'Aberdeen ou quelle qu'autre agence qui m'a employée n'est de quelque façon impliquée dans le projet qui est la raison de la composition de cette déclaration sous serment : J'ai identifié ces agences seulement dans le but de m'identifier moi-même et d'établir ainsi ma crédibilité.

5. J'ai accompli plus de 1.300 heures de formation spécialisée en plus après ma sortie de l'Académie de Police d'Etat. Cette formation a été principalement consacrée à améliorer mes capacités en tant qu'investigateur criminel.

6. J'ai servi en tant qu'officier de patrouille, officier de formation pratique, détective, sergent détective, et actuellement je suis affecté en tant que sergent de patrouille. Je suis certifié par l'état de Washington en tant que superviseur de premier niveau. Je suis également affecté en tant qu'officier responsable de l'équipe des d'accidents mortels. Une partie de mon entraînement spécialisé a inclus une réussite dans les enquêtes techniques d'accident comme enseigné dans les patrouilles de l'état de Washington.

7. Pendant les 20 dernières années j'ai reçu de nombreuses décorations pour la qualité de mes efforts d'investigateur
.

8. J'ai rencontré la femme identifiée dans la retranscription de la bande et dans d'autres documents, comme étant June Kaba de Ocean Shores, Washington en 1992 pendant que je conduisais un programme de travail du soir pour adulte à la bibliothèque d'Ocean Shores au sujet des Objets Volants Non Identifiés. Elle a fait référence du fait d'avoir eu la connaissance directe d'événements significatifs relatifs à son emploi par le Gouvernement des États Unis au Camp de l'Armée de l'Air de Wright Field Ohio. À cette époque elle a également déclaré qu'elle ne voulait pas faire d'autres révélations en raison de sa crainte de devenir une criminelle, poursuivie pour violation d'un serment de sécurité. 


9. Au début de juin 1997, j'ai été appelé par June Kaba en raison de nouvelles révélations de l'Armée de l'Air conçues pour coïncider avec l'anniversaire du crash supposé d'un vaisseau alien et de la récupération de corps non-humains à proximité de Roswell, Nouveau-Mexique le 4 juillet 1947. June Kaba affirma qu'elle savait en fait que la révélation de l'Armée de l'Air relative au crash allégué de Roswell qui impliquait la chute d'un ballon météo et les tests de mannequins lâchés par parachute, n'étaient qu'une couverture délibérée. Elle déclara en outre qu'elle désirait que je rédige un récit de ses souvenirs. 

10. le 27 Juin1997 je suis allé chez June Kaba au 896 Catala Ave. SE Ocean Shores, WA 98569. A sa demande nous avons discuté de son histoire personnelle et j'ai enregistré notre conversation. Cette bande fut retranscrite plus tard par l'une de mes amies Mary Sullivan qui était à cette époque secrétaire juridique au bureau du procureur du comté de Grays Harbor.

11. J'ai écouté la bande de cette conversation et l'ai comparée à la transcription de l'entrevue faite par Mary Sullivan. La transcription est une copie parfaite et précise de l'entrevue entre June Kaba et moi-même.

12. June Kaba me donna les archives restantes qu'elle avait gardées de son emploi entre les années 1943 et 1952. J'appris au-travers de ses explications et de ces documents qu'elle avait été mariée deux fois, que son nom de jeune fille était Crain et que son premier nom de mariage était Cubbage. June M.. Crain est née le 16 juin 1925 à Dayton, Ohio. J'ai également appris par ces documents que son employeur pendant ces années avait été le Département de la GUERRE des États-Unis à Wright Field Dayton, Ohio, Force de l'Armée de l'Air.

13. June Kaba est décédée le 23août 1998 à Hoquiam, WA à l'âge de 73 ans

14 après sa mort j'ait reçu des copies de sa correspondance avec un Chercheur Militaire sur les OVNIs bien connu, M. Kevin Randle. J'ai comparé son récit des mêmes  événements qu'elle lui avait donné il y a 5 ans avec les déclarations qu'elle me fit. Ces souvenirs sont entièrement conformes et cohérents, alors et maintenant. De plus, nous avons discuté de ces événements à plusieurs occasions, qui n'ont pas toujours été enregistrés. June Kaba n'a jamais prétendu savoir plus ou moins que ce qu'elle a déclaré à M. Randle et moi-même.

15 J'ai la sincère conviction que June Kaba travailla aux lieux et dates que la documentation indique. De plus, à plusieurs occasions elle me raconta qu'elle savait qu'elle n'avait plus beaucoup d'années devant elle et qu'il était extrêmement important que ce qu'elle savait soit  rendu public. Je suis entièrement convaincu qu'elle m'a donné un véritable compte rendu des événements qu'elle se souvenait de son emploi au camp de Wright Field à Dayton, Ohio dans les années 1943 à 1952.

16. Dans l'élaboration de ces rapports, j'accomplis une promesse que j'ai faite à June Kaba, à savoir que son histoire serait racontée dans toute la mesure du possible, et qu'elle serait utilisée pour aider les efforts d'un bon nombre de chercheurs dans ce domaine, afin de déchirer le mur des mensonges et du secret qui a été érigé par notre propre gouvernement, peut-être avec la meilleure des intentions, et qui s'élève entre les habitants de la terre et la compréhension de notre véritable place dans l'Univers.

17. Finalement je fais cet exposé en sachant qu'en disant la vérité,  je mets en danger mon emploi et ma réputation. Si des moyens d'intimidation choisissent par ridicule d'attaquer l'épitaphe d'une femme juste qui a été respectée et aimée par beaucoup dans sa communauté ou s'ils choisissent "de descendre le messager" en attaquant un ancien flic, alors ainsi soit-il. Je voyagerai en compagnie de personnes tant estimées comme le shérif adjoint Sale Spaur ou Betty Cash; Dieu bénisse le Repos de leurs âmes.

James E. Clarkson

 

 

AVANT PROPOS

Ceci est la transcription de l'entrevue que j'ai eue avec June Crain  dans sa maison 896 Catala Ave. SE Ocean Shores, WA 98569 le 27juin, 1997. À l'époque ce cette entrevue June avait 72 ans et elle avait survécu à deux maris et à deux cancers.

La bande magnétique de l'entrevue a été retranscrite par Mary Sullivan, qui travaillait en tant que secrétaire dans le bureau du procureur du comté de Grays Harbor. Elle réalisa cette transcription volontairement sur son temps libre. Cette transcription fut terminée deux semaine après l'entrevue.

Juste après avoir réalisé cette entrevue, June contacta son avocat, Scott Sage, qui lui avait préparé un affidavit (déclaration sous serment) certifié devant notaire, qui m'accordait les droits de l'histoire de sa vie. Elle a fait ceci sans je n'en ai eu connaissance. 

June  Kaba était une philanthrope bien connue dans sa communauté d'Ocean Shores, Washington. Elle avait mené une campagne de charité qui a réussi à lever des fonds pour construire une nouvelle bibliothèque. Je l'ai rencontrée en 1993 après avoir donné une conférence sur les OVNIs dans la nouvelle bibliothèque d'Ocean Shores, un bâtiment moderne et lumineux qui existait en grande partie grâce à ses efforts. 

Elle m'a abordé peu après et m'a dit que j'avais raison  — que notre gouvernement en connaissait beaucoup plus qu'il ne disait au sujet des OVNIs. Je lui ai demandé comment elle savait cela 

Elle a dit, "car j'ai travaillé là." Je lui ai demandé quelques détails et elle m'a répondu, "je ne peux pas vous dire  —ils viendront m'arrêter." Je lui ai demandé de se rappeler à moi si jamais elle changeait d'avis. 

Quatre ans après j'ai appris qu'elle avait fait faire des enquêtes à mon sujet. Elle a décidé qu'elle pouvait me faire confiance pour ne pas l'arrêter, une fois que je connaîtrais son histoire, bien que j'étais alors sergent détective au Département de Police d'Aberdeen.

Elle était très fière de son travail pour le gouvernement des USA en tant qu'employée civile à la Base aérienne de Wright-Patterson de 1942 à 1952. Sa fierté et sa fidélité étaient pour elle la cause d'un dilemme —elle était liée par son serment de fidélité mais elle n'eu plus aucune tolérance pour la duperie faite à tout le monde, plus particulièrement par tout fonctionnaire, à tout niveau du gouvernement, et par quelques politiciens locaux louches.

June était en colère en raison du fait qu'elle avait perçu comme une grande hypocrisie, la négation officielle de l'existence des OVNIsi , mais aussi les laboratoires classifiés où elle avait  travaillé; elle avait été surprise que des scientifiques et des ingénieurs discutent d'objets manufacturés et de corps récupérés, d'OVNIs crashés. Elle croyait que le public méritait de connaître la vérité.

En 1990 elle contactait l'investigateur en OVNIs Kevin Randle, mais elle craignait d'être identifiée par son nom. Une partie de son histoire fut reprise dans le livre de Kevin Randle, "The Truth About the Crash at Roswell (la vérité au sujet du crash d'OVNI à Roswell) sous un pseudonyme, mais à elle ne voulait pas faire d'autres révélations. 

En 1997 les médias de l'Armée de l'Air ont fait campagne pour discréditer le crash de Roswell juste avant la célébration du cinquantième  anniversaire; ceci eu un effet sérieux et inattendu pour June Crain. Je n'ai pas reçu de nouvelles d'elle en quatre ans, mais June n'avait pas perdu son temps. Elle m'a dit qu'elle en avait assez entendu sur CNN au sujet de "Roswell Case Closed , (Roswell un cas terminé)" et que ceci était "un foutu mensonge."  A bien des égards j'ai envers les agents de la désinformation une dette de grande gratitude pour m'avoir conduit à un rare amitié, et un aperçu de ce que je crois être l'un de leurs secrets les plus jalousement gardés. 

June Crain a travaillé dur toute sa vie– elle a commencé à travailler au camp de Wright Field en 1942 où elle était âgée de 17 ans. Les papiers qu'elle m'a donnés, confirmés et vérifiés par les Archives Nationales, montrent une série régulière de promotions menant à sa dernière situation en tant que Sténographe en 1951, quoique son emploi à WPAFB (Base aérienne de Wright Patterson) ait été interrompu après une grossesse et une maladie. 

June Crain est devenu partiellement aveugle après une maladie qui a mis sa vie en danger en 1954. En 1957 son premier mari a été tué par un conducteur ivre le jour de leur 14ème  anniversaire de mariage devant leur maison de Portland, Orégon. Elle manqua de perdre son fils unique au cours du même accident. 

En dépit de son incapacité visuelle elle a appris la menuiserie et elle a pu transformer et vendre 15 maisons dans la région de Portland. Elle était fière d'avoir pu reporter des hypothèques pour des personnes qui autrement n'aurait pas pu acheter de maison. Elle réussi assez bien à aider par la suite son fils à obtenir son diplôme de l'université de Stanford. 

Sa résistance physique demeura, même après deux cancers. Toutes les fois que j'ai rendu visite à June dans sa maison, je l'ai trouvée en train de jardiner ou d'en transformer le boisage intérieur . Elle était physiquement active jusqu'à ce que le cancer la frappe pour la dernière fois. Elle mourût le 23 août 1998 

Quel est le plus important au sujet de l'histoire de June Crain ? D'abord, son dossier dans les services gouvernementaux s'avère qu'elle a travaillé dans diverses installations à Wright- Patterson AFB où des recherches secrètes et classifiées étaient menées et elle a manipulé des matériaux confidentiels dans le cadre de ses fonctions. En second lieu, elle n'a pas fait de publicité sur ses expériences pour de l'argent ou pour être reconnue.

En conclusion, son histoire n'a pas changée au travers du temps. Elle n'en a pas ajouté ni retiré la moindre portion. Ce qu'elle a dit à Kevin Randle en 1990 était conforme à ce qu'elle a m'a racontée sept ans après. Pendant nos conversations elle aurait pu je crois, embellir ou exagérer sa révélation concernant son expérience au sujet des OVNIs si elle avait été illusoire, causée par la maladie ou par l'âge, ou délibérément trompeuse. 

Je crois également que quand elle m'a parlé, elle savait qu'elle n'avait plus beaucoup d'années à vivre, ainsi il était important qu'elle raconte son histoire au meilleur de ses capacités.intellectuelles Quand l'histoire appelée "Roswell-Case Closed" débarqua, elle jugea que c'était probablement la dernière occasion qu'elle avait de révéler ce qu'elle savait. Bien que ses déclarations ne soient pas un discours classique de "fin du monde", il n'y a pas d'auditoire dans le monde qui ne prête attention à la crédibilité de révélations faites quand une personne sait qu'elle est proche de la mort. 

En me rappelant le passé je sais que j'ai passé un grand nombres de soirées à sa table de salle à manger regardant dehors les nombreuses fleurs et arbres qui avaient fait prospérer sous sa main. Nous avons observé les ratons laveurs et les opossums qui viennent et qui vont  — elle les appelait et elle leur donnait à manger à tous. Nous avons échangé des histoires de la vie. 

Je crois qu'elle avait besoin d'un ami dans sa vie autant que j'ai essayé de l'être.

Je suis sûr que si quelqu'un qui lit ceci il aura des million de questions auxquelles il aimerait avoir des réponses. Je sais cela. Je sais également que j'ai à respecter June en tant que Personne dont la santé avait été altérée par l'âge et le cancer. Interviewer une personne âgée doit être fait avec précaution de sorte que le processus ne soit pas une épreuve. 

Mais d'une manière primordiale, j'ai respecté June Crain en tant que femme qui avait fait face à la tragédie, à l'adversité, et à la maladie dans la détermination d'un engagement pour aider les autres de manières différentes et nombreuses qui ne peuvent être décrites dans ce court témoignage 

Sans aucun doute ses révélations seront condamnées par les débunkers et  les agents spéciaux en uniforme d'investigateur  parce qu'elle a pu ne pas se rappeler de petits détails, ou parce que sa mémoire n'était pas parfaite après 50 ans. Les faits demeurent  — les documents qu'elle m'a donnés, sont maintenant vérifiés par les Archives Nationales, et parlent d'eux mêmes.  

Étant donné sa position, elle a travaillé au bon moment au bon endroit en ce qui concerne les événements décrits qui se sont produits comme elle les a détaillés.

En tant que Sergent retraité de la police, et ancien enquêteur de la police militaire avec plus de 24 ans expérience, je l'ai trouvé sincère et crédible.

En tant que son ami, je suis reconnaissant d'avoir connu quelqu'un avec son courage et sa force de caractère. Raconter son histoire est ce que je lui ai promis. Si ce faisant, j'aide à terminer une énorme tromperie faite par notre propre gouvernement, alors cela sera un honneur.

J'ai passé en revue cette transcription en sa totalité. C'est une représentation vraie et précise de notre conversation de ce jour.

James E. Clarkson

 

 

Retranscription du témoignage de June Crain (première partie)

Jim : James E. Clarkson
int : June Crain

Jim : Ceci est un enregistrement nous sommes le 27 juin 1997,il est environ 22h:30. Nous discutons de quelque chose sur lequel nous avons discutée avant. Quoi qu'il arrive j'espère que l'enregistrement ne vous embête pas ?

Int : no (Je n'ai pas donné son nom dans cette transcription car à cette époque, elle était effrayée par les représailles de violation de serment. J'ai depuis lors obtenues les copies de ses fichiers aux Archives Nationales et il s'avère que les derniers documents qu'elle a signés était un rappel à respecter son serment de sécurité.)

Jim : Ok. C'est bien

Int : Je vous ai dit que je me moque de la chose, juste une autre personne écoute.

Jim : Je vous ai eu ! Pourrions-nous revenir encore sur une partie de votre bibliographie? Où travailliez vous, car je pense que cela serait plus significatif.

Int : Ouais!, j'ai travaillé à la base aérienne de Wright-Patterson à trois époques différentes. La première fois je travaillais dans l'unité d'approvisionnement et c'est à cette époque que j'ai attrapé un espion. Ce fut le point principal de cette époque, cela ne faisait pas longtemps que je travaillais.

La deuxième fois c'était dans une unité d'approvisionnement c'était une unité photographique.. Et j'ai vu toutes les photographies de tout ce qui existe… c'était des photographies de canon, des appareils à GSAP et nous avions des dossiers et des dossiers et des dossiers de ces observations photographiques, vous connaissez les observations de canons et les appareils de photos de pointage. Ah, les clichés, et tous différents pendant la guerre.

Jim : C'est ? 

Int :  Et ce serait… 

Jim : Est-ce que ceux-ci proviennent des avions de combat ou des bombardiers ou proviennent-ils des deux ? 

Int : Les deux, les deux. 

Jim : Les deux, les deux. Ok. Ainsi c'est la base aérienne de Wright-Patterson. 

Int : Base Aérienne De Wright-Patterson Dayton, Ohio.

Jim :  Ok, juste un retour en arrière sur ce vous avez mentionné. Je pense que cela contribuerait à expliquer le genre de travail ainsi que l'habilitation de sécurité que vous aviez. Vous avez mentionné un espion?

Int : Oui. 

Jim : Vous avez attrapé un espion?

Int : Oui. 

Jim : Et que faisiez-vous à cette époque là ? 

Int : J'étais classée en tant que dactylo, et à cette époque, si on était classé en tant que dactylo peu importe ce que l'on faisait parce que c'était comme ça. Et ah! , j'avais une bonne intelligence et euh! de la curiosité à revendre, j'étais très méticuleuse sur tout ce que je faisais et j'étais la plus rapide des secrétaires en sténographie, demandez leur, et ainsi j'ai eu toujours un boulot en or, je veux dire que quand ils avaient un boulot et qu'ils voulaient qu'il soit parfait, ils me le donnaient. Ainsi, j'ai obtenu une accréditation top secret et plus tard lorsque finalement ils m'ont donné la "Q" ce qu'ils appelaient accréditation "Q" était à l'époque la plus haute accréditation que vous pouviez avoir, parce que je faisais un travail très confidentiel.

Durant cette période c'était juste de la curiosité et quand j'ai obtenu le travail en 48 comme je le disais, Jim, je suis allé à la porte de derrière j'avais déjà acquis une réputation, et ainsi quand j'ai voulu aller au travail j'ai appelé quelqu'un et ils m'embauchèrent et quand je suis entré dans le bureau du personnel, la demande attendait là pour moi et c'est de cette manière que le boulot arriva. Mais la période passionnante fut quand je suis parti en 48 c'est pendant cette année là que j'ai dû arrêter parce que je souffrais d'épuisement dû à la chaleur, et le bâtiment de "Air Materiel Command" était très mal aéré et soit-je partais soit-je mourrais. Et ainsi ils m'ont mis en congé. Et quand j'ai voulu revenir travailler, j'ai suivi de nouveau la même méthode. J'ai appelé quelqu'un; ils ont posé une demande pour moi et c'est ainsi que je suis entrée dans la section parachutiste et oh! la section parachutiste qui manipulait n'importe quel projet, n'importe et chaque projet avait un parachute qui lui était raccordé

L'"Aerobee rocket" (L'une des premières fusées atmosphériques) était l'une de ces choses, le bulldozer D-4 qu'on laissait tomber était l'une de ces choses, le siège éjectable était l'une de ces choses.

Jim : Puis je demander, le bulldozer D-4. Vous voulez dire, laisser tomber un bulldozer avec un parachute? 

Int : Ouais!, c'est bien ça.

Jim :  Quel était le troisième type de parachute? Vous avez dit "l'Aerobee rocket", le bulldozer D-4 et…le.. 

Int : Le siège éjectable. 

Jim : Ok. 

Int : Et il y en avait probablement d'autre dont je devrais vous parler mais il est impossible de m'en souvenir. En "51" c'est là où je me suis mis en colère quand j'ai lu dans le journal cette chose dont ils ont parlé au sujet de ces mannequins qu'ils larguèrent et tout ça. En "51" ils ne travaillaient pas sur les parachutes personnels, ils travaillaient sur "l'Aerobee rocket" c'est quand nous avons commencé à travailler sur le début du programme spatial et c'est quand j'ai pris de la dictée en sténo pour démarrer celui-ci j'ai pris la dictée en sténo du Dr. Wernher von Braun. J'ai passé trois (3) heures à le questionner. Je suis retournée au laboratoire. J'ai écrit le rapport et cet officier, un lieutenant colonel est venu pour m'apprendre qu'ils me donnaient le job parce qu'aucune autre fille ne le ferait. Elles n'étaient pas assez rapides pour prendre la dictée en sténo et elles avaient peur de son accent allemand et elles ne pouvaient pas comprendre les mots, fortement techniques. J'avais la capacité de la faire et ainsi ils m'ont dit vous allez le faire! Et c'est ainsi que je pris la dictée en sténo pendant trois (3) heures et j'ai posé certaines questions afin que tout soit claire. Je suis retourné au laboratoire et l'officier m'a dit: "vous ne pouvez pas retourner chez vous, vous devez terminer ce travail avant de rentrer ce soir. Car il est très secret." Et ainsi Je suis resté là jusqu'à trois 3heures du matin en train d'écrire, mais lui non. Et la chose, la plus grande chose, les mots les plus gratifiants que je n'ai jamais entendu dans ma vie, quand j'étais entrain de faire ce travail il m'a dit "June, si nous obtenons ces 600.000$ et ce programme spatial, quand il démarrera vous aurez votre heure dans l'histoire." Et moi, je n'ai jamais oublié cela !

Jim : Est-ce que je peux juste revenir sur un point?  Maintenant où vous dites, Dr Von Braun, vous vous référez au DR Wernher von Braun

Int : Exact… 

Jim :  Qui a été amené ici aux États-Unis… 

Int : C'était le Projet Paperclip… 

Jim : Le Projet Paperclip… 

Int :  Et il était prisonnier.

Jim : Tout à fait… 

Int : Et plus tard il a signé un contrat pour travailler pour le gouvernement. Et savez-vous que dans sa biographie il n'a jamais mentionné être venu à la base aérienne de Wright-Patterson mais il était bien là durant une longue période. Il vivait dans le complexe avec les autres Allemands. Il y avait cette barrière de (8) huit pieds autour d'eux, et ils avaient leurs petites maisons, ils avaient des logements provisoires, tous ces scientifiques que nous avions enlevés…

Jim :  Oui! Oui!

Int : Et ah! Chacun voulait partir, ils sont allés en Amérique. Et ah! On a dit qu'ils obtiendraient leur liberté plus tard mais ils étaient encore des prisonniers eux et lui aussi. Et puis éventuellement on leur donnait des contrats et ils travaillaient pour le gouvernement pour je crois, soit trois ou cinq ans et ils obtiendraient leur nationalité américaine. J'ai leurs noms. Et vous savez il y a une chose très étrange; dans son autobiographie, il a donné (Von Braun) une liste entière de tous ces scientifiques allemands. Mais, il ne cite pas le nom de ceux qui travaillaient avec moi, pas un seul d'entre eux, pas un seul.

Jim :  Maintenant, du peu que je connais de l'endroit, j'ai toujours entendu parlé de cette "Foreign Technology Division" (Division de technologie étrangère….) Est-ce que cela vous dit quelque chose?

Int :  Non. 

Jim : C'est peut-être plus tardif.

Int :  Ca pourrait être l'Arsenal de Redstone. Ca pourrait être lui.

Jim :  Ok. J'ai pensé que c'était Wright-Patterson, mais je ne sais pas quand ils ont commencé à l'appeler comme cela.

Int :  Mais voyons, ils ont changé de nom tant de fois. Une fois ils l'on appelé le "WADC Wright Air Development Center 10" (Le Centre de développement de l'Armée de l'Air de Wright). Et ils l'ont changé; ils sont revenus, ils ont déplacé la partie expérimentale à Baltimore et cela est devenu alors autre chose . C'est devenu la NASA.

Jim :  Vous avez mentionné quelqu'un à cette époque, je me rappelle, vous l'avez mentionné associé à des ingénieurs et des gens qui étaient comme sur sorte de groupe d'experts?

Int :  Ouais. 

Jim :  Quand est-ce que c'était? 

Int :  Toujours.

Jim :  Toujours ? 

Int :  Ouais Toujours!, parce que ces hommes vivaient… Ou… Ils expérimentaient le futur, c'est tout ce que je peux dire ils étaient  —Je veux dire qu'ils pensaient à tout, une personne normale ne penserait jamais de cette façon parce que vous utilisez certaines choses, et certaines règles s'appliquent et personne n'a jamais fait différemment, mais ces types chaque fois qu'ils faisaient quelque chose avec ce travail expérimental, leur cerveau se dilatait dans ce qui pouvait être ce qui s'est peut-être produit, Vous savez, c'était toujours ça, Ce furent de très intéressantes personnes réellement, et certains d'entre eux, étaient complètement dingues. Vraiment.

Jim :  Dites moi juste s'il y a eu des crashes…..

Int :  Ouais.

Jim :  Ou des contacts avec quelque chose qui ne venait pas de la terre. Ils auraient été évincés de cette sorte d'information ?  

Int : Certainement. 

Jim :  Ok, quand… Quand fut la première fois dans votre expérience dans laquelle vous vous êtes heurtée ou entendu parler de quelque chose qui était relié aux objets volants non identifiés?

Int :  Je dirais le deuxième jour où je suis allé travailler en 1952 ou en 51

Jim :  Le deuxième jour ? 

Int :  Exact. Exact 

Jim :  Vous rappelez quand cela s'est produit?

Int :  Des camarades justement en parlaient, quand ils s'assirent en train d'en discuter. Quand nous avons été sur lune, quand nous nous sommes élevés jusqu'à la lune, qui était là ? Qui est-venu là? Qui sont ces gens; à quoi ressemblent-ils? Vont-ils ressembler à de grandes fourmis ou nous ressemblent-ils ou à quoi vont-ils ressembler ? Je veux dire que c'était leur curieuse pensée. Mais ils étaient toujours dans leurs pensées, toujours.

Jim :  Ne les avez vous jamais entendu dire quelque chose …qui n'était pas une spéculation, y avait-il quelque chose dont ils parlaient, quelque chose qui s'est produit, ou quelque chose qu'ils connaissaient?

Int :  Rien d'autre que du concret, ils avaient vu des choses, ils avaient vu réellement des OVNIs eux-mêmes, à White Sands, Nouveau,-Mexique. Ils ont dit qu'ils étaient gros juste comme des étoiles. Ce fut quand ils procédaient aux essais de l'"Aerobee rocket"— lisez juste ceci et vous comprendrez, j'ai mis tout dans cette lettre ici.

Jim :  Et nous bavardons de ce qu'ils ont vu fréquemment … 

Int :  Ils les ont vu fréquemment et ils me l'ont raconté, et je suis sûr qu'il y a eu trois (3) crashes. Cela m'a été dit réellement trois (3) crashes différents (Peut-être les 3 crashes en question sont-ils ceux de 1941 au Missouri, 1947 au Nouveau Mexique, et le crash de 1950 à El Indio-Guerro) 

Jim :  En 1952 ils savaient qu'il y avait eu environ trois (3) crashes? 

Int :  C'est exact, c'est exact

Jim :  Des véhicules qui étaient probablement extraterrestres ?

Int :  Exact, exact, et puis ce jour où ils ont fait entrer les deux (2) hommes dans la base aérienne de Wright-Patterson et les ont mis dans une glacière, ah c'est vrai, je ne l'ai pas vu parce que personne n'avait le droit de la voir. Voir ces deux (2) individus… mais la personne qui les avait apporté était un sergent chef et vous comprenez que quand un avion militaire décolle, il y a toujours un militaire de carrière responsable. Vous saviez cela, n'est-ce pas? 

Jim :  Je ne sais pas tout à fait comment ça marche… 

Int :  Ok.... 

Int :  Il y a toujours un officier qui est là avec tout, et pour tout ce que vous faites il y a un officier impliqué.

Jim :  d'accord.

Int :  Parce que c'est lui qui a les honneurs. Les sous fifres effectuent le travail. Ainsi quand un avion décolle, jusqu'au moment ou l'avion quitte le sol, le personnel militaire, l'officier, est responsable de l'avion. Mais au moment où il a décollé l'officier qui est dans l'avion a la responsabilité de l'avion jusqu'à ce qu'il atterrisse. Et maintenant le sergent chef , son prénom était Clarence, je suis allé à son mariage. J'ai envoyé la photo de leur mariage à Randle ; Je ne peux pas encore me rappeler du nom de cet homme.

Jim :  Ok. 

Int :  Mais lui, il était responsable de cet avion. 

Jim :  Quel genre d'avion ? 

Int :  Bien c'était un transport régulier. 

Jim :  Un transport, un transport militaire ? 

Int :  Ouais, ouais. 

Jim :  Et est-ce qu'il a dit ce que c'était? 

Int :  Il rentrait du Nouveau-Mexique. Il a dit "ce que j'ai apporté ce matin… Vous l'avez lu, c'est dedans ici".

Jim :  Ok. 

Int :  Je veux que vous lisiez ceci

Jim :  Comme vous voulez 

Int :  Il a dit qu'il a apporté deux (2) petits hommes dedans.

Jim :  Ok, pour deux (2) petits hommes… 

Int :  Il les appelait des petits hommes verts. Il les a décrits comme étant de couleur verdâtre-bleu. 

Et ils mesuraient quatre (4) pieds de hauteur et ils étaient morts.

Jim :  Ainsi ils auraient pu avoir cette couleur parce qu'ils étaient morts ?

Int :  Ouais. 

Jim :  Pas… 

Int :  Ouais, mais vous voyez ça aurait pu être n'importe quoi. 

Jim :  Nous parlons de non-humains ?

Int :  Non-humains. Certaine.

Jim :  A-t-il dit autre chose à leur sujet?

Int :  Non, pas vraiment. Car ce fut seulement pendant quinze (15) minutes environ. Nous avions notre café ce matin. Et ainsi quand Clarence nous a dit pourquoi il nous racontait cela ; c'était ses nouvelles du jour.

Jim :  Ce n'était pas un vantard ?.

Int :  Non. Non, non! Ces gars n'aimaient pas se faire remarquer.

Jim :  Il n'était pas un peu vantard?

Int :  Non, non, non ! Ces types n'aiment pas se faire remarquer.

Jim :  C'est un sujet sérieux ?

Int :  Quand je dis que les ingénieurs étaient fous, il y a une chose à savoir. Ils n'étaient pas fous, vous pourriez penser qu'ils agissaient comme des fous, mais c'est difficile à expliquer. Mais très sérieux. Ils ne racontaient pas des mensonges. Ils ne plaisantaient pas. Ils ne faisaient pas n'importe quoi comme ça. Et ainsi quand ils racontaient quelque chose ils savaient qu'il était mieux de dire la vérité. Si vous ne mentez pas, vous ne vous cassez pas la tête.

Jim :  Ce sergent chef brisait-il les consignes de sécurité en parlant de ceci ?

Int :  Non, car nous n'étions pas en alerte de sécurité.

Jim :  Ok.

Jim : Maintenant, est-ce à la même période que vous aviez mentionné avant cela que quelqu'un vous a montré en fait un morceau de quelque chose ?

Int :  Oui.

Jim :  Etait-ce à cette même période?

Int :  Oui, en 51 ou en 52.

Jim :  Ok, qui vous l'a montré ?

Int :  Ok  c'était le lieutenant Rose qui me l'a montré, ou le capitaine Wheeler, il se pourrait que ce soit l'un ou l'autre de ces types, parce qu'ils étaient tous deux au personnel, au personnel des parachutes. Et ah!, il est entré. Ils aimaient bien discuter chiffon avec moi parce qu'ils ne pouvaient pas arriver à comprendre. Il l'a jeté sur mon bureau, et c'était un morceau, c'était un morceau d'environ ce grand… et c'était…

Jim :  D'environ la moitié ou de la taille d'une carte de visite professionnelle?

Int :  Ouais, à peu près de cette taille, ou de la moitié

Jim :  Ok.

Int : Là , et on l'a plié comme ceci.  — Et il dit "June, vous êtes compétente. Déchirer cette chose en morceau, brisez la" Je l'ai prise et je l'ai pliée et je l'ai tordue et je l'ai poser au sol, et elle redevint  exactement à la même forme qu'avant. Je l'ai repris sur mon bureau et il m'a dit, "coupez la. Coupez la, Essayer de la couper." J'ai pris mes ciseaux et je l'ai coupé d'un coup de ciseaux et vous savez il n'y avait pas moyen de couper ce morceau de métal. Et c'était léger comme une plume. Je l'ai eue dans ma main et je ne pouvais pas… je voudrais dire que ça ne pesait pas plus que ces deux cartes ce n'était pas si lourd. C'était si léger mais si résistant, et c'était au sujet de l'épaisseur que je voulais parler, voyons, là, ce serait de cette épaisseur

Jim :  Ainsi c'était assez épais mais ça ne pesait rien ?

Int :  Mais il n'y avait aucun poids du tout, c'était comme une plume. Et si fort c'était une sorte de métal grisâtre, comme les armes, et vous pouviez voir que sur l'intérieur il y avait un,… comme un enduit différent que sur l'extérieur. Les deux côtés étaient identiques mais ceux qui étaient à l'intérieur semblaient avoir une sorte d'oxyde coloré, légèrement coloré au centre.

Jim :  À quoi ressemblaient les bords? Étaient ils les mêmes ou faisaient-ils partie d'autre chose ?

Int :  C'était les mêmes.

Jim :  Les mêmes.

Int :  Très calme, je dis "Qu'est que c'est? Il me dit, "c'est un morceau d'un vaisseau spatial."

Quand je……., vous savez pour faire passer ça, je ne pu rien faire, je lui re-demanda, "bien, qu'est-ce que c'est ?" Et il dit, "morceau d'un vaisseau spatial." Il m'a dit "Je revenais juste du Nouveau-Mexique et je l'ai rapporté avec moi." Voyez, il n'avait pas de travail et n'avait rien à faire au premier site, mais lui…

Jim :  Ainsi il violait la sécurité ?

Int :  Oui, il le faisait. Certainement.

Jim :  Évidemment dans les années quarante, et même dans ma vie étant de quarante cinq, J'ai vu des améliorations et des changements dans les matériaux les plastiques et les métaux. Avez-vous jamais…

Int :  Je n'ai jamais vu…

Jim :  Est-ce quelque chose que vous avez vu jamais vu depuis ?

Int :  Jamais… je regarde toujours les choses, les choses en métal et j'ai toujours cette curiosité, car cela me tracasse toujours, et je n'ai encore rien vu qui aurait toutes ces propriétés et apparences identiques. Et si léger !

Jim :  Était-il légèrement sous la forme d'un '"v" ? Si j'ai bien compris?

Int :  C'était une sorte de …

Jim :  Très légèrement ou comme incurvé ?

Int :  Une sorte d'une courbe. C'était comme…

Jim :  Et c'était formé, comment était-ce formée de quelle manière ?

Int :  Ouais, je ne sais pas … c'était pratiquement indestructible.

Jim :  A-t-il dit quelque chose…

Int :  J'ai même pris le bord des ciseaux et frotté dessus lui sur… vous savez…

Jim :  ah! Hum!…

Int :  J'ai pris les ciseaux comme ceci, et je lui est donné un grand coup comme ceci, et je ne pouvais même pas le cabosser. Juste rien. Car il m'a dit déchirer le, ainsi j'ai tout essayé pour le déchirer, et je ne pouvais pas le déchirer. Je ne pouvais pas le cabosser .

Jim :  hum!....

Int :  Je ne pouvais même pas faire une marque dessus.

Jim :  Hum!, c'est le genre de chose étrange même dans l'endroit où vous étiez pour que quelqu'un dise que cela venait d'un vaisseau spatial.

Int :  Bien, il avait la même autorisation que moi.

Jim :  OK. J'imagine dans ce que je dis que quelqu'un, peut-être plaisantait.

Int :  Non. Non —il n'aurait pas plaisanté. Ah!-Ah!, il y avait une autre homme qui se tenait là, il n'aurait jamais plaisanté, en aucune manière il aurait plaisanté. Ces types ne plaisantent pas, ils ne le font pas , ils ne plaisantent pas vraiment, ils ont euh!, réellement ils ont à peine le sens de l'humour. Mais ils ont cette intense, euh, curiosité au sujet des choses et ce truc est tellement sacrément lointain hors de ce que j'appelle l'étrange. Vous devriez être à côté d'un de leur groupe pour les connaître

Jim :  Bien, Les avez vous jamais entendu discuter de ces choses ?

Int :  Bien, Assez souvent ils parlaient de ça, s'ils venaient sur notre terre, qu'arriverait –il de nous ? Et ils ont bien dit en premier lieu la raison pour laquelle ils ne débarquaient pas c'est qu'ils savent…..que nous sommes toujours en guerre et que probablement la première chose que nous essayerions de faire serait de les tuer. Ce qui est une bonne logique. Et euh alors ils ont dit qu'ils nous observaient probablement depuis des centaines d'années et que nous sommes un peuple qui aime la guerre, nous sommes épouvantables, vous savez, la seule chose que nous ne faisons pas, c'est de nous manger entre nous. Nous nous défions ; nous nous mutilons. Et tout cela…

Jim :  Cela dépend dans quelle partie du monde vous êtes

Int :  Exact. Et ils pensent que c'est l'une des raisons, qui … Une de raisons pour laquelle ils ne débarquent pas, mais ils ont également dit qu'ils pensent que l'une des raisons principales et apparentes fut quand la bombe atomique a explosé, et ce fut quand elle est vraiment devenue puissante. Et puis quand nous avons commencé à envoyer nos fusées, qu'elles sont devenues plus puissantes que jamais. Probablement parce qu'ils ne veulent pas que nous transportions notre guerre comme la vie dans n'importe quel endroit. Et je vous pari qu'ils nous empêcheraient d'aller sur n'importe quelle autre planète jusqu'à ce que nous apprenions à vivre avec les uns et les autres. Je veux dire, que c'est mon avis.

Jim : N'avez vous , jamais entendu parler de toutes autres discussions parmi ces gens, d'ingénieurs et pourquoi pas de crashes…

Int :  Non. Juste…

Jim :  Les fonctionnements ou…

Int :  C'était juste, c'était simplement une question de fait. Je veux dire qu'ils en ont parlé parce que tout le monde savait, qu'il y avait eu des crashes.

Jim :  Vous avez mentionné précédemment que, avant d'avoir commencé l'enregistrement de la bande, ils étaient en train de discuter des systèmes de propulsion.

Int :  Oui. Car ils ont dit qu'il n'y avait aucun doute au sujet de l'existence, oh! Vous savez des soucoupes volantes, ou comme vous voudrez les appeler, il n'y a aucun doute à ce sujet. La question la grande question est quel est leur système de propulsion. Puisqu'il est presque impossible pour un véhicule de manœuvrer de leur manière. Un être d'humain serait tué immédiatement si vous étiez dans un vaisseau qui se dirige droit devant vers le nord, et puis soudainement se dirige vers le sud, puis immédiatement à l'est, à la vitesse supérieure à cent milles (100,000) milles à l'heure…

Jim :  L'inertie vous tuerait.

Int :  Les changements d'accélération, la force "G" vous tueraient. Et il n'y a aucun moyen pour qu'un homme puisse y survivre. Ainsi ces véhicules, il n'y a là aucun moyen pour qu'ils puissent être euh! équipé pour des humains ordinaires. Cela ne se peut. Et il y a, il doit y avoir un être intelligent qui actionne ces choses, et l'être est à l'intérieur vivant en elles.

Jim :  Ainsi ils parlent, ceux, ces personnes parlent, des objets physiques…

Int :  Ouais…

Jim :  Vaisseau spatial…

Int :  Exact.

Jim :  Origine inconnue ?

Int :  Exact.

Jim :  Pas de cette terre.

Int :  Exact, et leurs théories et religion et pourquoi ne débarquent ils pas. C'était l'une des grandes questions. Pourquoi ne débarquent ils pas. Et leur théorie était en compétition, la plupart d'entre eux avaient eu la même idée, et que nous devions faire la guerre . Nous voulons tout tuer, et ils ne veulent pas être tués. Car la première chose que nous ferons c'est de les tuer, si quelqu'un atterri nous sortirons les canons et nous essayeront de les tuer tout de suite.

Jim :  Donc il n'y avait pas une question dans ce groupe au sujet de savoir s'ils existaient, s'ils étaient ici ? Ou s'ils venaient et où ils allaient ?

Int :  Jamais. Jamais. Jamais, jamais une question. Et ce sont des scientifiques très intelligents, ils sont habitués à être appelés des ingénieurs, mais ils s'appellent des scientifiques d'un jour maintenant.

Jim :  hum! hum!

Int :  Et ceux sont de très, très bons scientifiques. Tous. hum! Hum! …

Int : Mais quiconque qui a connu le sujet de ce qui allait se passer parce qu'à ce moment-là nous testions "l'Aerobee rocket". Et c'est ce que nous étions en train de tester.

Jim :  Mais que faisait "l'Aerobee rocket"? Etait- ce un missile ou…

Int :  Ouais, c'était un missile, c'était un précurseur de plusieurs années----. vos vaisseaux spatiaux en ce moment....

Fin de la première partie

 

 

Documents de US Air Force prouvant que June Crain travaillait bien à la Base Aérienne de Wright Patterson et plus particulièrement à Air Materiel Command comme elle l'affirme dans son témoignage, ainsi qu'un document prouvant qu'elle avait accès à des documents officiels classifiés.