Deuxième partie de l'histoire de June Crain.

 

Dans cette seconde partie, un paragraphe assez long est consacré aux fameux mannequins du crash de Roswell et à une photo que l'Armée US a publiée, discréditant les témoins qui affirmaient avoir vu des corps. En fait ces mannequins présentés dans le rapport "Roswell a Case Closed" n'ont été mis en service dans l'Armée US que dans les années 1954, bien après Roswell !!!

Les rédacteurs de ce rapport, nous auraient-ils menti..... ???

Avec l'aimable autorisation de James E Clarkson

Int :  Je me rappelle aussi cet article, c'était un sacré mensonge ! Ce rapport, un sacré mensonge.

Jim : l'autre…

Int :  Tromper les Américains, et ce n'est vrai, ce n'est pas ce n'est pas cela. J'aimerais lire votre compte rendu, mais des hommes apparemment crédibles ont lu et écrit ces articles. Et ils ont habituellement la première page dans les journaux. Et ce qu'ils racontent n'est pas vrai.

Jim : Je suis allé sur Internet l'autre nuit, sur "www.cnn.com" ; c'est une très bonne source d'informations et il y avait une grosse histoire sur les mannequins parachutés.

Int :  Oui?

Jim :  "Roswell- Case Closed", et tout ça. Le truc, je suppose, qui a le plus capté mon attention fut que juste après ils ont fait un sondage pour savoir quelle était notre opinion, et l'on pouvait vérifier si on croyait le gouvernement ou pas. A la fin, il y a eu quatorze mille (14.000) personnes qui ont dit ne pas croire à ce que le gouvernement racontait, et ils étaient seulement deux mille (2.000) à le croire.

Int :  Oui.. Le nom de l'article était, le livre, le rapport. "Roswell-Case-Closed". C'est ça ?

Jim :  C'est ça.

Int :  Et ils disent que les corps qu'ils ont vus étaient des mannequins.

Jim :  C'est ça.

Int :  Ainsi ils n'admettent pas qu'il y ait eu un crash ?

Jim :  En quelque sorte.

Int :  Ils ne l'admettent pas

Jim :  Exact, parce qu'ils n'ont même jamais eu connaissance qu'il y ait eu un crash.

Int :  Qu'il y ait eut un crash… Comment peuvent-ils dire qu'un crash n'a pas eu lieu, alors qu'ils sont capables de dire qu'il y avait des mannequins.

Et alors ils essayent de nous faire croire, que bien qu'ils aient mal interprété le crash de 1948, et ce qui s'est produit en 1951, dans le leur esprit ils ont mis les deux choses ensemble. Pas question, Pas question. C'est une insulte, c'est une insulte pour moi car suis la dernière survivante de la Section parachute et je sais ce qui s'est passé en 1951et en 1952. Il y a eu un crash à cette époque, et probablement deux.

Celui de Roswell était différent, ça c'est passé en 1947

Jim :  Et vous citiez trois crashes précédemment…

Int :  Ouais, il y a en a eu trois, trois fois autant que je sache, je ne garanti pas le quatrième pour une raison que je ne voudrais pas …

Jim :  Ces trois crashes dont vous aviez entendu parler, c'était pendant que vous travailliez à Wright-Patterson ?

Int :  Oui. Un s'est passé à Roswell, et puis il y en a eu deux autres. Je veux vous montrer quelque chose.

Jim :  Ok.

Int :  Cette carte, Je ne vois pas très bien. Il y a Roswell, OK ?

Jim :  OK.

Int :   Vous voyez ceci là ?

Jim :  Alamogordo

Int :  Non.

Jim :  La carte là sur le pli. C'est...

Int :  Vous voyez quoi,: "White Sands"?

Jim :  Exact.

Int :  C'est là où nous faisions des tests. Et ils ne prenaient pas de parachutes là-bas.

Jim :  Probablement pas, C'est à une distance très grande.

Int :  Non, parce que, les ingénieurs savaient exactement où les fusées allaient atterrir quand elles... regardez  là "Salton Sea" ?

Jim :  Oui.

Int :  Bien c'est ici où nous travaillions également. Regardez c'est White Sands, "White Sand Proving Grounds" c'est dans cette zone ou le long, je ne sais pas. Qu'est ce que dit la carte, "White Sands"?

Jim :  Je ne pense que l'échelle est assez grande sur cette carte.

Int :  C'est un terrain d'essai, c'est le terrain d'essai de "White Sands".

Jim : Je pense que vous avez besoin d'une échelle plus grande. Je vous ai dis avoir fait deux cercles sur la carte. OK, "Salton Sea" au-dessus d'ici en Californie,

Int :  Ils faisaient des tests ici aussi, mais c'était des tests de types différents.

Jim :  Et plus bas ici "Sierra Vista"?

Int :  J'avais un ami qui vivait là bas.

Jim :  Ah, je vois.

Int :  Oui. C'est l'échelle de cette carte qui représente un pouce pour cent miles.

Jim :  Si je regarde à droite, environ à un tiers (1/3) de l'état entre Roswell et le secteur, c'est là que les essais de parachute étaient menés.

Int :  Exact ! Ainsi s'ils testaient des mannequins ici, ils n'atterrissaient pas ici. Et vous ne métreriez pas des mannequins avec des parachutes et des ballons tous ensemble. Laissez moi vous dire, vous ne le feriez pas.

Parce que la pression de l'air est tout à fait différente sur un ballon qu'elle n'aurait été sur un parachute. Et ainsi ils nièrent le crash en 1951, ils nièrent le crash.

Jim :  Exact

Int :  Ils ont dit que c'était un ballon. Je crois

Jim :  Je me rappelle, d'abord ils ont dit des ballons.

Int :  Oui.

Jim :  Et ils ont dit que c'était un projet classifié constitué de ballons avec des microphones pour écouter les Soviétiques, et maintenant ils disent qu'avec les ballons il y avait des mannequins.

Int :  Bref

Jim :  J'ai du mal à me rappeler toutes ces histoires.

Int :  Le gouvernement a dit que le vaisseau spatial était un ballon.

Jim :  Exact.

Int :  Et ces types ils se sont presque décollés de rire, vous auriez dû les voir, ils se roulaient de rire sur le plancher.

Jim : Où était ce donc ?

Int :  C'était un autre crash.

Jim :  Ok, c'était avant en 1952 ou en 1951?

Int :  C'était en 1952, 1951, 1952. Et c'était après Roswell…

Jim : Ils ont utilisé à nouveau cette histoire de ballon alors ?

Int :  Certainement ils l'ont fait

Jim :  Et ces types ont su que c'était un mensonge ?

Int :  Certainement ils savaient que c'était un mensonge. Tous ces crashes, pour quelle raison mystérieuse ils se produisaient toujours exactement aux environs de cette région de Roswell. C'était toujours juste autour de ce secteur.

Jim :  Maintenant si je me rappelle bien, Roswell; une de ses particularités était que c'était la première base de bombardiers nucléaire au monde.

Int :  Exact

Jim :  Quel !

Int :  Et le nucléaire, quand ils ont commencé la première fois cette pagaille avec la bombe atomique, ils étaient complètement fous. Ils y en avaient plein le ciel, et les gens n'avaient pas fait attention à eux, je veux dire que nous avions une guerre qui continuait. Et les gens ne le savaient pas, ils nous ont laissé face à face, nous n'avions pas d'information. Un enfer je n'ai même jamais vu une TV ces jours là.

Jim :  Je me rappelle qu'il y a eu un incident à Los Angeles, je ne me rappelle pas la date, c'était pendant la guerre et il est bien documenté, J'ai même vu les titres sur les journaux. Il y a eu une alerte réelle concernant un raid aérien, des lumières mystérieuses ont été vues dans le ciel et mille quatre cent obus anti-aériens ont été tirés et ils ne savaient pas sur quoi ils tiraient.

Int :  Exact, exact.

Jim :  Et ils ne l'ont jamais expliqué.

Int :  Le gouvernement avait déjà une méthode de contrôle sur les militaires. Soit vous la fermez, soit vous ne dites rien ou soit vous êtes traduit en conseil de guerre ou vous allez en prison. Je veux dire qu'ils peuvent vous enfermer pour n'importe quelle raison. Ils n'ont pas les mêmes règles que pour nous les civils. Et les civils ont été obligés par la crainte, de perdre leur travail. En ces jours là, pensez-vous que j'aurais pu perdre mon salaire annuel de $1.260.

Jim :  Depuis que j'ai étudié cette lettre, je suis venu avec un tas de choses dont je voulais vous parler car dans cette lettre vous avez mentionné que le même jour où vous avez entendu parler de ce qui va continuer, des petits hommes ont été amenés à la base.

Int :  Exact.

Jim :  Il y a eu une note qui a été publiée ?

Int :  Oui. Réelle était la crainte quand je dis qu'ils contrôlaient les civils avec la crainte et la chose, elle était sur un morceau de papier un de ceux "trop chaud pour être tenu". Il est passé de main en main. Et il informait que quelques personnes irresponsables affirmaient qu'il y avait de petits hommes verts et que si nous répétions cette rumeur et que si cette rumeur continuait, nous nous exposions au renvoi immédiat, à vingt mille dollars d'amende et vingt ans de prison. Nous avons dû signer cela; ce mémo venait du commandant de la base. Comment par l'enfer a-t-il obtenu cette information si rapidement, et préparer ce mémo ? Pourquoi nous l'a t-il donné directement à la section des parachutes?

Nous avons dû la signer et naturellement nous n'en avons plus parlé ensuite. Officiellement nous faisions très attention quand nous en parlions. Naturellement les scientifiques vous ne pouviez pas les surveiller quand même. Mais ils ne parlaient à personne, excepté à eux-mêmes.

Jim :  Il y avait un endroit où les gens pouvaient parler, ils parlaient de choses inhabituelles ?

Int :  Oui.

Int :  Mais c'est seulement dans les circonstances où nous avons eu cette note.

Jim :  Et Ils n'avaient jamais, Ils n'avaient jamais demandé à des gens de se taire au sujet d'autre chose ?

Int :  Jamais, jamais, sauf une fois

Jim :  seulement une fois ?

Int :  C'était quand l'avion a pris en chasse un OVNI et qui a explosé, nous n'avions pas eu de note comme cela.

Jim :  C'était le Major Mantell ?

Int :  Exact.

Jim :  L'incident de Mantell ?

Int :  Oui. Nous n'avons eu aucune note à ce sujet. Je veux dire, ils n'ont rien dit de ce qui était arrivé. Ils n'ont pas dit pourquoi ou quelque chose, et nous n'avons jamais rien entendu à ce sujet.

Jim :  Vous vous rappelez où c'était où celui-ci a explosé ?

Int :  Je ne m'en rappelle pas vraiment Ca ne concernait pas vraiment ma section, ça ne concernait pas les parachutes

Jim :  Vous avez cité aussi le "Blue Book" dans la lettre.

Int :  Oui bien, je n'ai jamais lu le "Blue Book" quand je travaillais sur "l'Aerobee Rocket", mais j'ai vu un OVNI. Tout le monde l'a vu, D'un point de vue de technologie ce vaisseau ne pouvait pas voler. Et c'est tout ce que nous avons dit, nous n'avons rien dit d'autre. Alors les gars voulurent prendre l'enregistrement et l'emmener pour pouvoir l'étudier. Mais ils ne l'ont pas fait.

Jim :  Ainsi publiquement ils disaient quelque chose, mais après ils faisaient autrement.

Int :  Exact. Et c'est ce qui arriva. Ils ont couvert l'incident lorsque tout ceci a été publié dans les journaux, et il s'est produit une telle conspiration, comment ont-ils pu faire cela.

Le projet "Blue Book" n'a pas été créé pour étudier ces choses, il a été créé pour que les gens ne pensent plus au phénomène. C'est mon opinion et je n'en démordrais pas.

Jim :  Et quelqu'un d'autre étudiait réellement le phénomène?

Int :  Oui. Il était étudié par des officiers du projet  "Blue Book". Mais la chose principale est qu'ils ont dit qu'il y avait des personnes qui étudiaient le phénomène, et en effet, ils l'étudiaient très très religieusement, mais en même temps ils disaient aux gens qui avaient observé le phénomène que c'était des cons, qu'ils avaient bu ou qu'ils étaient mentalement sous l'effet de drogues ou de quelque chose comme ça. C'était ça le projet "Blue Book", il était fait pour tenter d'écraser tout ce qui concernait les OVNIs

Jim :  Laisser moi revenir sur quelque chose, il y a tant d'idées dans mon cerveau en ce moment, j'essaye de me concentrer. Que pensez vous réellement qu'ils savent  vraiment ?

Int :  Le gouvernement ?

Jim :  Oui.

Int :  Ils ont récupéré des OVNIs et ils les testent et ils ont apparemment déjà découvert le système de propulsion. Et quand ils en auront une parfaite connaissance, leur système de vol sera complètement différent, et toute l'aéronautique sera différente.

Jim :  Certains pensent que c'est déjà fait.

Int :  Je ne connais pas bien le sujet, mais, c'est la clef, c'est la chose primordiale. Quel est leur système de propulsion ? Puisque ce n'était pas essence, ce n'était pas l'électricité, ce n'était pas l'anti- gravité, ils croyaient ça, ils croyaient que les ingénieurs parleraient, leur diraient quelque chose comme anti-gravité, et que jamais cela signifierait quelque chose comme anti-matière. Et ce serait fantastique si on était capable de… d'aller sur une autre planète ou un autre système solaire, mais comment pouvaient-ils transporter assez de carburant ? Parce qu'il y a une autre chose que disaient les scientifiques avec qui j'ai travaillé, ils ont dit, les gens pensent que notre système solaire est le seul comme cela. Il y a d'autres systèmes solaires en dehors du nôtre. Ils peuvent ne pas venir de Venus ou de Mars ou de Neptune ou d'aucunes de ces planètes. Ils peuvent tout à fait venir d'un autre système solaire. Parce qu'il y a un bon nombre de systèmes solaires qu'ils doivent avoir découvert maintenant. À cette époque ils ne savaient que nous n'avions pas les ressources nécessaires. Je parie qu'ils nous expérimentent. Et probablement qu'une partie de ces êtres nous espionnent. Ils ont  découvert comment le faire.

Jim :  Je veux revenir à ceci, vos expériences avec ces ingénieurs ou de ce groupe de spécialistes. Je ne sais pas comment l'appeler.

Int :  Oui

Jim :  N'avez vous jamais entendu des discussions ou des spéculations sur ce qui arriverait si le public américain connaissait la vérité ? Qu'arriverait-il ?

Int :  Si.

Jim :  Ce qui…

Int :  Il en a été souvent discuté. ils en ont débattu. L'une des premières choses, fut naturellement… Beaucoup d'ingénieurs et scientifique ne croient pas en dieu. Et la première chose serait une incrédulité complète dans la  religion et toutes les choses de cette religion. Puisque selon la bible Dieu a créé la terre et touts ses habitants avec. Cela prouverait que ce n'est pas exact. Ils ont dit que l'Eglise essayerait assurément d'écraser toute connaissance à ce sujet. Ils ont dit également qu'ils essayeraient malgré nos controverses de faire le nécessaire pour éviter que l'on se tue les uns les autres, car nous sommes un peuple terriblement assoiffé de sang. Probablement qu'ils établiraient une sorte de gouvernement provisoire qui arrêterait les famines et tout cela. L'humanité serait commandée par leur propre gouvernement. Mais tout le monde serait commandé de la même manière. Ce qui est un peu difficile à croire.

Jim :  C'est difficile à croire. Je suis en train de penser à différentes choses.

Int :  Oui-Oui.

Jim :  Ce morceau…

Int :  Oui.

Jim :  Que vous avez tenu! N'avez vous jamais senti quelque chose de semblable ?

Int :  Jamais. C'était une drôle de sensation, c'était très lisse. Vous savez, si je vous dis de tendre votre main.

Jim :  Oui

.

Int :  Maintenant fermez les yeux, cela est dans votre main…

Jim :  OK.

Int :  Vous pouvez commencer à me dire ce que c'est ?

Jim :  Je ne sais pas.

Int :  Vous ne pourriez pas, cette chose vous ne pourriez pas. Je ne l'ai même pas senti comme étant du métal. Ce n'était pas une sensation comme de la graisse, et ce n'était pas lisse, c'était une sensation étrange. Je dirais presque que ce n'était même pas du métal. Je veux dire que c'était différent.

Jim :  OK.

Int :  Ca ne ressemblait à aucun métal et j'avais une curiosité naturelle et active pour certaines choses qui me tracassaient et celle là me tapait vraiment sur les nerfs. Car j'aimais ce stupide mastic, j'avais en main le premier morceau de mastic qui n'avait jamais été fabriqué. Je l'ai eu dans des mes mains. Je le faisaiis rebondir su mon bureau, et l'un des ingénieurs qui est entré m'a dit "June qu'aimeriez vous tenir dans vos mains qui coûte un million de dollars?" J'ai dit "pourquoi?" Ils m'a répondu, "prends le" Je l'ai pris. Il a dit, "tu tiens dans la main un million de dollars." Je dis oh!, Il me dit que ce mastic est le premier morceau de silicone de nous essayons de fabriquer avec Dupont de Nemours, et il m'a dit que ceux-ci voulaient s'en approprier le brevet et qu'ils ne voulaient pas faire le travail que nous voulions. Ils voulaient l'utiliser comme scellement….

Jim :  Sûr.

Int :  Il ne gèle pas, tu peux le frapper avec un marteau et il n'éclatera pas et bon vous savez ce qu'est ce fichu mastic ?

Jim :  Sûr.

Int :  Et à ce jour personne ne ne connaît son histoire, cette chose a cinquante ans, à ce jour ils n'ont jamais rien su…

Jim :  Mais à l'origine il a été développé comme produit d'étanchéité  pour les fusées.

Int :  Et pour les fenêtres. Mais il a coûté un million dollars, et j'ai eu cette chose dans ma main. Elle rebondissait  comme une balle.

Jim :  Précédemment vous avez parlé, je ne sais même pas si je l'ai sur la bande, je sais que nous avons parlé avant de commencer du "Caucasian Project" (Projet Caucasien)

Int :  Oui… Cela me tient toujours. Cet écrivain avec lequel j'avais communiqué, je lui avais donné le soi-disant…, je lui avais donné un mot et toutes les choses dans le gouvernement qui sont codées. Il y avait un projet comme ça, qui devait cacher un autre projet. Comme le Projet Blue Book.

Jim :  OK.

Int :  C'était un projet si secret que le papier à écrire devait être conservé et ne pouvait pas être jeté, Il devait aller directement d'une personne à une autre, et revenir directement à la personne qui l'avait tapé, et mis en sécurité. Ce Projet avait pour nom "Caucasian". Et ce projet fût juste après le dernier en 1952; il advint juste après que ces corps arrivent à la base. C'était un projet, - j'avais une habilitation "Q", c'était un projet si secret que je n'avais pas l'autorisation de le lire en entier. J'en avais lu une toute petite partie, je dirais un paragraphe que j'avais lu et, je devais ajouter un autre paragraphe. Je devais ensuite l'enlever de ma machine à écrire. J'ai laissé un morceau de papier carbone dans le rouleau et j'ai eu des ennuis à cause de ça. C'était très secret, mais je ne me souviens pas de la teneur du paragraphe. Je me rappelle que c'était un paragraphe d'expédition que j'avais ajouté.

Jim :  Je n'ai jamais eu ce genre d'habilitation.

Int :  Oui.

Jim :  Peu importe; mais qu'est-ce qui vous incite à penser que le "Caucasian Projet avait un lien avec les corps ?

Int :  C'était juste après qu'ils aient apporté les corps à la base. J'ai essayé de savoir auprès de mon patron, mon patron direct, ce que c'était. Il m'a regardé comme s'il avait peur. Je veux dire qu'il m'a regardé comme s'il était effrayé, et il m'a dit June, je ne peux pas parler de ça. Cela signifiait, qu'il ne m'en parlerait jamais, et normalement il me disait tout ce que je voulais savoir. 

Jim :  Ok.

Int :  Cela voulait dire beaucoup.

Jim :  Si on prenait toutes les histoires des personnes comme vous qui ont une grande portée, vous savez, quelque chose de significatif dans leur vie et qui est liée à ce sujet, vous devriez les compléter toutes ensemble.

Int :  Vous venez avec une photo finalement.

Jim :  Exactement. Et elle ne concerne pas les mannequins parachutés.

Int :  Non.

Jim :  Vous savez cela. Il ne l'ont pas fait.

Int :  Dans le premier, le premier endroit laissez moi vous montrer quelque chose au sujet de cette image.

Jim :  Est ce la photo des journaux avec eux…

Int :  Oui..

Jim :  Les deux hommes se tenant le bras, bras dessus bras dessous avec le mannequin ?

Int :  C'est un mannequin articulé.

Jim :  Oui.

Int :  Nous n'avions pas de mannequins articulés à cette époque. Nous avions juste un mannequin, et il n'avait aucune caractéristique comme celle-ci car s'ils avaient eu ces caractéristiques ça serait du plastique

Jim :  C'est un point.

Int :  Et regardez comment ils mettent ses bras et ses mains et tout ceci. Ce n'est pas nécessaire sur un mannequin ordinaire. Vous savez si vous voulez savoir je dirais que c'est un homme.

Jim :  Hum…

Int :  Cela est trop articulé. Regardez ses genoux.

Jim :  Je sais. Les genoux sont peu trop réalistes.

Int :  Oui.

Jim :  J'allais vous demander quelque chose…

Int :  Regardez

Jim :  Quelqu'un a évoqué ce point…

Int :  Regardez son entre-jambes.

Jim :  Hum!.

Int :  Il ne semble pas très suspect ?

Jim :  Si.

Int :  exact ?

Jim :  Pensez vous qu'ils l'auraient fait dans des zones où ils testent et où ils ont du matériel. Ou était ce au moment où vous étiez dans la Division des parachutes, et saviez vous si c'était des projets extrêmement importants pour notre effort de défense.  ils ont laissé les gens fumer autour de ces choses ? c'est important ? Ont-ils prêté attention à cela ?

Int :  Non ils n'ont jamais prêté beaucoup d'attention à cela.

Jim :  Parce qu'ils sont de retour et  tout le monde fumait…

Int :  Oui.

Jim :  Ok.

Int :  Mais la plupart de ces types ne fumaient pas. Vous savez, ils ne fumaient pas, je pense en partie qu'ils ne fumaient pas parce qu'il y avait de l'essence et des produits chimiques. La plupart d'entre eux je me rappelle qu'ils ne fumaient pas, car ils avaient l'habitude de prendre mon mégot tout le temps parce que moi je fumais. Et quand j'allais avec eux dans la zone de largage ou autre part, ils me disaient de laisser mes cigarettes parce qu'on ne pouvait pas fumer dehors.

Jim :  Pour moi, vous ne semblez pas avoir perdu la mémoire concernant les OVNIs, et vous ne semblez pas avoir embelli quelque chose. Vous m'avez raconté la même chose il y a quatre, je vous ai mieux entendu, mais c'est toujours la même histoire. Puisque nous parlons de cela. Juste pour revenir sur le même sujet encore une fois. Qu'est-ce qui vous a tracassé le plus au sujet de cette histoire de mannequins ?

Int :  En premier lieu s'ils testaient vraiment des mannequins lâchés d'un avion, ils devaient les tester avec un parachute. Et vous m'avez dit qu'une personne verrait un mannequin fixé à un parachute et ne saurait pas que c'était un mannequin ? C'est cela qui me tracasse. Puisqu'un mannequin ne peut pas abandonner son propre parachute. Il ne peut pas se détacher de son parachute. Il faut être un humain pour faire cela.

Jim :  C'est un déclencheur manuel.

Int :  Et puis sur le haut de la photo, j'ai l'impression qu'elle a été retouchée, ou bien qu'il y a une personne réelle à l'intérieur du costume. Et le visage en plastique trahi la photo car les mannequins n'ont jamais eu de visages.

Jim  Je sais que nous avons raison, car nous ne savons pas ce qui s'est passé dans leurs têtes à lancer une histoire comme cela. Mais pourquoi maintenant, je veux dire qu'ils sont retournés dans le passé et ont dit d'abord, si je m'en rappelle que c'était un projet de ballon confidentiel.

Int :  hum! Hum!

Jim  Et le projet suivant était un projet de ballon confidentiel qui avait des microphones pour écouter l'Union soviétique dans le cas où ils testeraient des bombes. Et maintenant soudainement nous avons des mannequins qui tombent des ballons avec des parachutes.

Int :  Ou sont-ils venus pour voir le vaisseau là et ont-ils vu ces mannequins ? C'est-ce qu'ils ont essayé de nous dire. Mais quel était ce vaisseau alors ? Quel était le vaisseau d'où venaient ces mannequins ?

Jim :  Et pourquoi maintenant ?

Int :  Oui pourquoi nous le dire…

Jim :  Pourquoi maintenant ? Pourquoi nous disent-ils cela maintenant. Pourquoi ne pas nous l'avoir dit il y a cinquante ans ou il y a trente ans.

Int :  Oui, Pour me faire passer pour une menteuse et pour dire que j'ai menti. Je voudrais voir quelques papiers de la Section des parachutes, l'unité de cargaison, signée par M. Valasic-Frank L Valasic. Qui était mon patron, c'était l'ingénieur de projet du programme de fusée d'Aerobee, je dois voir ces papiers officiels que j'ai personnellement écrits avec mes initiales qui sont en bas dans le coin, JC et moi s'ils disent s'ils peuvent prouver cette histoire de parachute avec des mannequins, laissez-moi ensuite leur montrer les papiers que j'ai écrits en même temps sur la fusée Aerobee.

Int :  Oui

Jim :  Car je pense que c'est l'essentiel Ils ne disent pas la vérité.

Int :  Ils ne disent pas la vérité.

Jim :  Et en dessous de cela, qu'est-ce qu'ils dissimulent ?

Int :  Comme je dis, je suis probablement la seule survivante de la Section des parachutes. Ils essayent de dire que se sont des parachutes, mais j'étais là. Et j'ai soixante-douze ans et il est temps que je raconte cette histoire.

Jim :  Je pense que vous l'avez fait. Et c'est une histoire étonnante.

Int :  C'était drôle

Jim :  Pour moi aussi.