Energies nouvelles
Rappel sur les OVNIs:

 

Une des grandes questions qui revient souvent dans les conversations sur les OVNIs est :

"Mais comment se déplacent-ils ?"

Résumons les témoignages faits par des milliers de témoins dans le monde :

  1.) Les vaisseaux observés ont pour la plupart une forme discoïdale (vue de dessus) et elliptique (vue de profil) avec le bas de l'appareil plus aplati que le haut (ou le haut plus bombé que le bas selon que l'on soit pessimiste ou optimiste).

2.) Ces appareils se déplacent sans aucun bruit (si ce n'est peut-être un bourdonnement électrique ressemblant à un transformateur) et sans aucun BANG sonore même à des vitesses supersoniques.

3.) Ils sont de plus capables d'accélérations prodigieuses d'une cinquantaine de G alors que nos lanceurs "Ariane V" décollent avec une poussée de 20 G tout au plus (confirmation Mr. Fermi ?).

4.) Ces appareils peuvent rester en vol stationnaire sans système de propulsion apparent (hélices, turbines, etc.) ni audible.

5.) Leur passage à proximité d'appareils électriques provoque des interférences et la panne immédiate desdits objets (témoignages de moteurs de voitures stoppant brusquement, batteries brutalement vidées, ...)  

Sur le plan de notre technologie purement terrienne du 21ème siècle après J.C., le problème semble insoluble. Ils est pour nous, terriens, impossible de créer un appareil ayant de telles propriétés. Personne aujourd'hui n'est en mesure de donner une description réelle du mode de fonctionnement d'un moteur de vaisseau extra-terrestre. Pourtant, si l'on prend la peine de lire et de se documenter sur d'autres sujets que celui des OVNIs, on peut trouver une mine d'information sur des méthodes de déplacement hors-normes.

  La MHD (Magnéto-Hydro Dynamique)

  Le professeur Jean-Pierre Petit (auteur du livre "Enquête sur des extra-terrestres qui sont déjà parmi nous") démontre preuve à l'appui les effets d'une science qui n'a rien d'extra-terrestre sur la dynamique des fluides. La MHD repose en effet sur le fait d'ioniser un fluide environnant (air, eau) afin de le rendre réactif aux champs magnétiques. Lorsque le fluide est chargé d'ion négatifs, il devient très facile de le déplacer à notre guise à l'aide d'un champ magnétique polarisé. Supposons maintenant un appareil volant émanant un puissant champ magnétique orienté verticalement et dont le fuselage serait recouvert de milliers (voire de millions) d'électrodes ionisant l'atmosphère environnant. L'air ainsi ionisé serait propulsé violemment vers le bas par le champ magnétique, portant en conséquence l'appareil dans les airs. Voyez comme une balle de ping-pong reste suspendue de façon stable sur le jet d'air du sèche cheveux... La forme bien ventrue des soucoupes volantes serait optimale pour une portance effective.   Ça marche, tout le monde le sait, mais ça consomme aussi un maximum de courant. Comment embarquer un générateur suffisamment puissant pour faire voler un vaisseau ? Comme l'a dit Jean-Pierre Petit lors d'une interview à Paris Match : "Il faudrait un générateur électrique de la puissance d'une centrale nucléaire et de la taille d'une machine à laver." Espoir perdu ? (Snif!)  

LA SYNERGÉTIQUE  

Ne soyons pas fermés et ouvrons quelques archives (gardées précieusement par son papa) de la revue "Science&Vie" qui est tout de même une référence en matière d'articles sur la physique nucléaire, la relativité générale, la vie extra-terrestre et plein d'autres choses plus passionnantes encore.

Il est question dans un article paru dans les années 70' (1975 / 1976) d'un physicien nommé "René-Louis Vallée" exposant une théorie révolutionnaire reposant sur la synergie des charges électriques interdimensionnelles permettant de créer une source inépuisable de courant électrique. J'en entend déjà qui gloussent, rigolent et me voient déjà vouloir parler de mouvement perpétuel. Que nenni ! Il n'est nullement question de cela dans mon article.

Le professeur Vallée explique schéma à l'appui qu'il est facilement possible de transformer du Carbone 12 (graphite stable) en bore12 beaucoup plus énergétique . Comment ? C'est facile, il suffit de faire retomber l'électron sur le noyau. Ce genre de chose est simple à faire en fusion nucléaire mais le problème est que vous nécessiterez plus d'énergie pour faire retomber l'électron que vous n'en obtiendrez par la désintégration .

La théorie de la Synergétique développée par le professeur Vallée propose un autre moyen par une expérience toute simple :   - Procurez-vous un morceau de graphite pur (mine de crayon extra sèche 4H, noyau de pile au charbon, etc.) Une petite quantité suffit (10 grammes), vous comprendrez plus tard. - fixez une électrode à chaque extrémité du bâtonnet de graphite. - entourez ce bâtonnet d'un bobinage de cuivre comme pour créer un électroaimant. Ceci vous donnera le primaire d'un transformateur d'un nouveau genre. - Placez ce petit montage au centre d'un bobinage torique qui sera le secondaire de ce transformateur.

  Avant d'aller plus loin, résumons : Vous devez donc avoir un bâtonnet de graphite avec une électrode à chaque bout, entouré d'un bobinage, l'ensemble placé au centre d'un bobinage torique.   Munissez vous d'un GBF (générateur basses fréquences) et d'un déphaseur et branchez-les de telle sorte que vous obteniez deux sources sinusoïdales (50 Hz suffisent) déphasées l'une par rapport à l'autre (l'angle de déphasage n'est pas donné ;-) . Branchez une source directement sur le bâtonnet de carbone et l'autre source déphasée sur les bornes du premier bobinage (celui qui entoure directement le carbone). Le carbone se trouve ainsi excité simultanément par un champ électrique variable et par un champ magnétique variable de même fréquence mais déphasé. En jouant sur l'angle de déphasage, le Professeur Vallée affirme qu'en trouvant le bon angle, l'électron de l'atome de carbone entre en résonance, se retrouve déstabilisé et retombe sur le noyau, transformant ainsi le carbone 12 en bore12 beaucoup plus énergétique en rayonnement ß (béta). Le rayonnement est récupéré par le bobinage torique qui le transforme en électricité.

L'expérience aurait été effectué en Belgique par le physicien Éric D'ocker (ou D'Hoker ou bien encore D'Hocker) qui affirme avoir obtenu au secondaire 4x plus d'énergie qu'il n'en aurait envoyé au primaire. Mythe ou réalité ? D'où vient l'énergie ainsi créée ? Le professeur Vallée explique qu'en renvoyant l'énergie ainsi amplifiée dans le primaire (carbone + bobinage) il est possible d'amplifier la puissance du courant jusqu'à concurrence de 8 kW par gramme de carbone. Tout remplacement du carbone par un autre matériaux s'avère inefficace (aucune amplification). Il serait donc possible, à partir d'une petite impulsion électrique au départ, d'obtenir un courant électrique auto-alimenté et auto-amplifié à partir d'un simple stick de carbone ? Le professeur René-Louis Vallée l'affirme, le professeur Éric D'ocker le confirme.

Jusqu'à présent, aucun scientifique n'a jamais pu réfuter la théorie du professeur Vallée dont l'article paru dans Science&Vie s'intitule justement "Qui osera réfuter la Synergétique ?". Qu'est-il advenu du professeur Vallée ? Je l'ignore - aucun site Internet à son sujet. Idem pour le belge Éric D'Ocker - pas de traces. J'ai tenté de contacter la revue Science&Vie à ce sujet - sans succès. Si quelqu'un a des infos, je suis preneur.   En tout cas, Si une telle hypothèse est vraie, cela ouvre la voie à des générateur hyper-puissants, de la taille d'un lave-linge et de la puissance d'une centrale atomique.

Ainsi, des nouveaux modes de propulsion comme la MHD ou autre encore pourraient voir le jour. Imaginez ce qu'un tel générateur chargé avec à peine 1 Kilo de carbone fournissant 8 Mégawatts de courant pourrait alimenter. Cela impliquerait la fin des sociétés de création et transport d'hydrocarbures et la fermeture définitive des centrales électriques.   Est-ce l'énergie utilisée dans les OVNIs ? Cela ne serait pas impossible si l'on considère la Synergétique comme étant réelle. Rien n'interdit d'expérimenter (avec un bon emballage de plomb quand-même).  

 Charlie Renegade