RENCONTRES RAPPROCHÉES EN AFGHANISTAN

Document N.S.A d'octobre 1981

TRADUCTION

Sujet : Rencontres rapprochées en Afghanistan


1 XXX texte complet

2 je suis persuadé qu'il y a quelque chose d'important dans les nombreux rapports émanant de nomades Afghans, racontant que l'Armée Rouge utilise un type de lumière d'une intensité très puissante. La lumière pourrait être en relation avec la défense d'un périmètre et /ou la protection des routes.

3 Nous avons entendu et rédigé des comptes-rendus au sujet de ce phénomène depuis septembre, en provenance principalement de journalistes français et d'aventuriers. Ceux-ci ont décrit des lumières étranges illuminant de grandes portions (habituellement plus d'un quart ou plus) du ciel Afghan. Les localisations des observations nous ont été rapportées comme à Ghazni (août, 1980) à Gardez, XXXXXX, à Nuristan (septembre 1980) et à Khost (Jan, 1981)

4 Les comptes-rendus ont en commun l'intensité des lumières, les distances d'où elles sont perceptibles et le périmètre des zones qu'elles semblent illuminer (plus, et peut-être beaucoup plus de 5 Miles de diamètre). Les comptes-rendus diffèrent, car certains parlent de rayons étroits qui sont comparés à des lasers ou des projecteurs de recherche, et faisant partie du phénomène. Les plus nombreux cependant parlent d'illuminations diffuses. Les comptes-rendus diffèrent aussi quant aux lumières qui croissent puis décroissent lentement puis s'affaiblissent, ou atteignent une intensité maximale et s'éteignent immédiatement.

5 Je suis resté sceptique au sujet des histoires qui mettent en scène des OVNIs, jusqu'à ce que le producteur de la NBC Joe du Cola revienne de Paktia le mois dernier. J'ai réussi à savoir que de Cola était considéré comme un observateur précis et méticuleux. Tandis qu'il passait près de Khost (Matun) aux alentours du 1er janvier, de Cola et son équipe "virent la lumière". A cet instant, ils étaient à environ 12 milles au sud de la Garnison de Khost. Quand ils en prirent conscience, la lumière semblait être à son maximum d'intensité.

6 Leur première impression fut que la lumière provenait d'un hélicoptère qui les recherchait. Elle ne bougeait pas, cependant, elle ne venait pas d'un aéronef (ou autre), aucun bruit de moteur n'étant discernable. Ils quittèrent le secteur aussi rapidement que possible, mais étaient certains que la lumière resta visible et stationnaire pendant au moins 20 minutes.

7 Le sentiment de de Cola était que la lumière provenait d'une source aéroportée à une altitude de quelques centaines de pieds, car elle ne se déplaçait pas et qu'il n'y avait aucun bruit du moteur. Il pense qu'elle pouvait avoir été suspendue à un ballon. Comme d'autres témoins, il déclare avoir été déconcerté par l'intensité et la magnitude de la lumière et se demande si elle n'était pas destiné en premier lieu XXXXXXX à effrayer des attaquants potentiels.

XXXXXXX

8 j'ai demandé à de Cola si la lumière ne pouvait pas venir de quelque chose comme des fusées de signalisation de parachute au magnésium qui sont utilisées par l'armée de terre des Etats-Unis. Il est tout à fait certain que non, car il n'y avait aucun mouvement et que la durée d'illumination était trop longue. Quant aux fusées de signalisation lancées par un mortier, il n'y eut aucune explosion ni de traînée.

9 Une autre histoire plus spécifique nous est parvenue le 3 février du Français Dominique Vargas concernant une observation près d'Asadabad, Kunar, en septembre. Vargas, un photographe professionnel qui semble avoir quelque formation scientifique et militaire, déclara que la lumière qu'il avait vu était "plus froide et plus blanche" que celle provenant d'une source au tungstène "qui brûlerait à 3.500 degrés Kelvin". À la première observation, la lumière illumina un diamètre minimal de 5 à 10 kilomètres, dans ce qu'il a décrit comme une forme hémisphérique claire et parfaite. La période d'illumination fut d'environ 15 minutes, avec une période d'intensité très forte commençant immédiatement, d'une durée de deux ou trois minutes. Par la suite, la taille de la forme hémisphérique s'étendit d'une manière spectaculaire, tandis que l'intensité de la lumière diminua graduellement jusqu'à plus rien. Vargas pensa que la source de lumière n'était pas aéroportée, car cela aurait produit plus qu'une forme hémisphérique. Comme de Cola, Vargas n'a entendu aucun bruit associé à la lumière.

10 Chose intéressante, un phénomène de lumière nocturne au-dessus des collines de Margala à Islamabad fut observé il y a quelques mois par des diplomates et autres, et rapporté dans la Presse. Nous pensons que c'était probablement une lumière mobile, (cas d'école classique au sujet des OVNIs) et n'ayant aucun rapport avec les observations Afghanes.


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